
Genre : Science-Fiction (nouvelle).
Première édition : 2018 en VF (Seven Birthdays, 2016 en VO).
Présentation de l’éditeur : Hors-Série 2018 du catalogue « Une Heure-Lumière » des Editions Le Bélial’
Ma chronique :
Cette nouvelle est le texte principal du Hors-Série 2018 de la collection de novellas de science-fiction « Une Heure-Lumière » (avec une présentation de la naissance de la collection par son créateur Olivier Girard, et une interview du dessinateur Aurélien Police).
Mia, 7 ans, fête son anniversaire dans un parc avec ses parents séparés qui ne s’entendent pas. Elle se perd en contemplation de son cerf-volant, alors que sa mère ne pense qu’à agir sur le réchauffement climatique…
Il est parfois difficile de chroniquer une nouvelle, si on ne veut pas trop en dire et laisser aux futurs lecteurs le plaisir de la découverte. Mais très rapidement, le lecteur est emporté par une histoire à grande échelle qui n’oublie pas l’égoïsme de l’homme prompt à façonner la nature selon ses intérêts.
Ce court récit marque pour moi la découverte de l’auteur et de son écriture poétique, qui présente ici un devenir optimiste bien que singulier pour l’humanité, mais aussi un hommage au lien filial entre mère et fille.
A noter : cette nouvelle a été incluse dans le recueil Jardins de Poussière de Ken Liu, édité en 2019.
J’ai découvert cet auteur à travers un recueil de nouvelles La ménagerie de papier. C’est la première fois que je lisais des nouvelles SF et j’ai été agréablement surpris. J’ai la curiosité de voir ce qu’il donne sur un roman, je crois qu’il en a sorti un.
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Il a écrit 2 romans indépendants : « L’Homme qui mit fin à l’histoire », dont j’ai beaucoup entendu parler, et « Le Regard », qui est plus récent.
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Je suis allé vérifier sur Livraddict et les 2 dont tu parles sont plutôt des novellas (longues nouvelles). En revanche, il a écrit 2 romans fantasy « La dynastie des Dents-de-Lion ».
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Qui sont plus exactement 2 novellas d’une centaine de pages.
Deux styles différents mais deux bons textes avec une petite préférence pour L’homme qui mit fin à l’histoire qui est « wahoo »…
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@Yogo : j’avais oublié que c’était des novellas
@Nicolas : je ne sais pas ce que l’auteur vaut en Fantasy
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Je n’ai lu dans cette collection qu’un Lucius Sheppard intitulé « Les attracteurs de Rose Street ». Le cas Liu m’intrigue: j’ai en PAL « La ménagerie de papier ». Son tour viendra.
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